Second chapitre de mon journal pour les 20 ans de Wow.

L'Outreterre

Nouveau départ nouveau perso, j'ai profité de l'ajout des chamans dans l'alliance pour en monter un. Avec l'ajout des dix niveaux supplémentaires le leveling 1 - 60 fut très rapide et j'ai enfin pu découvrir tout ce que Burning Crusade avait à offrir. TBC est beaucoup plus raffiné dans sa conception, je pense que les developpeurs saivaient ce qu'ils voulaient, un peu comme un bijoutier qui peaufine son diamant brut. Vanilla était un véritable joyau à son époque, mais certains aspect du jeu le rendait brut avec une courbe de difficulté parfois en montagnes russes. Sur cette extension les choses sont plus lissées. Chaque classes voient ses spécialisations devenir utiles et jouables, je pense particulirèment au prêtre ombre qui devient un réservoir à mana sur pattes, le druide feral devient une alternative viable pour le off-tanking voir le main tank, le jeu offre un peu plus de liberté sur la jouabilité de son personnage.

Les zones sont magnifiques, chacune possède son identité propre. Je frémis à chaque fois que je repense à la péninsule des flammes infernales et son robot géant (le nom m'échappe), un élite de niveau 70 qui te oneshot à vu. Combien de fois je me suis retrouvé au cimetière alors que faisais mes quêtes tranquillement. Le marécage de Zangar avec ses droles champignons géants et le fameu ascenseur de la ville de Telredor qui doit compter presque autant de victime que l'élite de la péninsule. Je me rapelle d'une fois en forme de loup j'ai voulu rattrapé l'asenceur qui avait amorcé sa descente en sautant en plein élann, pendant le saut j'ai dépassé la plateforme pour m'écraser lamentablement à ses pieds. Les très amusantes quêtes de la zone 52 dans Raz du Néant.

La progression du niveau 60 au niveau 70 est beaucoup plus fluide grâce à un système de quêtes complètement retravaillé. Fini de traverser la moitié de la carte pour prendre une quête, retraverser l'autre moitié pour accomplir ses objectifs et pour fini prendre le bateau et deux griffons pour se rendre dans une zone déjà explorer pour la rendre cette même quête. Dans TBC toutes les quêtes sont concentrées au même endroit avec les objectifs au maximum dans la même zone. Elles servent à créer l'identité de chaque chque zones avec des histoires origniales et en mettant en valeur des personnages du lore de Warcraft. Malgré une majorité de quêtes fedex le leveling est bien plus confortable.

Qui a sa clef ?

Le contenu end game a aussi droit à sa refonte. Avec une diffculté progressive notamment sur les Donjons 5 joueurs avec l'introduction du mode héroïque. Il s'agit d'un mode difficulté supérieur avec un meilleur butin (un pièce épique garantie en fin de donjon) des monstres plus forts et qui necessité d'être dévérouillé avec une clée. Cette clée pouvait s'acheter auprès de l'intendant de la faction lié au donjon. Par exemple pour les donjons de la citadelle des flammes infernales était lié à la réputation du bastion de l'honneur pour l'alliance (thrallmar pour les hordeux). Il fallait avoir le niveau de réputation révéré pour pouvoir acheter la clée et dévérouiller le mode héroïque des donjon. Cela fonctionnait ainsi pour tous les donjons de l'extenstion. A savoir qu'au début de l'extension le processus de réputation était largement plus complexe a tel point que certains dessinaient des organigrammes. Pour atteindre le rang révéré dans toutes les factions nécessaires il fallait plusieurs quêtes difficiles et longues, qui souvent se concluaient dans un donjon à 5.

Ma nouvelle guilde faisait principalement des raids 25 à cette époque. Et même si l'IRL était une priorité cela n'empêchait pas d'avoir des ambions au niveau PVE, ambitions que j'ai gardé jusqu'au début de Mist of Pandaria. Le but n'était de participé à la course au PVE mais de tomber du boss avant la sortie du patch et nerf suivant. C'est dans ce contexte que mon aventure PVE démarre et quelle aventure ! Avec comme introduction la tour de Karazhan. Demeure du gardien Medivh personnage emblématique de l'histoire de Warcraft. Mon dieu ce raid quand j'y repense j'en ai encore des frissons. Cette ambiance d'horreur et de mélancolie mélangés, accompagnée d'une musique au clavecin purement sublime. https://www.youtube.com/watch?v=HOIL12ag6-8

Gruul et les plaisirs du farm

C'était les deux premiers raids pour le pailier T4 et quel morceau. Nous avons passés de nombreuses soirées à se casser les dents sur ces deux boss et surtout de longues journée à farmer pour la trop longue liste de buffs que nous devions avoir pour chaque soirées. En effet au dans les début de BC il n'y avait aucune limite sur le nombre de buffs que pouvait avoir un personnage. On pouvait bénéficier d'un exlixir et d'un flacon en même temps, sans compter les huiles, la nourritures et aures consommables. Cependant passé à côté de ces buffs était impossible si on voulait réussir nos objectifs. Alors tous le roster c'est m'y au farming pendnat plusieurs jours afin de un stock suffisant pour quelques soirées d'avances. Ajoutait à cela que les banques de guildes n'étaient pas encore en jeu donc on c'est bien pris la tête pour gérer tout ça.

Pour Gruul il fallait en plus avoir des potions d'invulnérabilite limité pour contré sa technique d'AOE. Plusieurs fois dans le combat Gruul projetait tout le raid dans la salle et appliquait un débuff qui petit à petit pétrifiait les joueurs pour après leur infligés de gros dégats. Cette phase était une vrai horreur pour nous soigneurs, nous perdions toujours 3 ou 4 joueurs à chaque phase et plus le combat avancé plus cela devenait pénalisant. C'est en lisant la stratégie réaliser par Nihilum qui avait utilisé cette potion durant cette phase que nous avons pu avancer. Même si la potion avait été nerf peu après par Blizzard, elle était toujours utilisable, cependant elle ne permettait plus d'éviter les dégats uniquement la pétrification. Au niveau heal c'était un réél gain, car nous pouvions remonter le raid sans craindre la pétrification.

Des serpents, il faillait que ce soit des serpents !

Ah la caverne du sanctuaire de serpent, raid 25 joueurs situé dans le marécage de Zangar. De l'eau, de l'eau, de l'eau et des serpents. C'est la demeure de Dame Vasj lieutenant d'Illidan le nouveau maître de l'Outreterre. En tant que chaman, avec mes compagnons prêtes, nous étions choiyaient car les trash de ce raid étaient une vrai plaie. Il repopaient pratiquement toutes les Vingt à trente minutes, affreuseent génant lors de notre phase de progress. Nous n'avions que ce laps de temps entre chaque essai avant que les trash ne repopent et nous forcaient à nettoyer la zone à nouveau. Nous avions donc mis au point des "routes" pour en skip le plus popssible, grâce au marche sur l'eau et lévitations des chamans et prêtres du groupe.

Au niveau des rencontres mes préféres resteront Leotheras l'aveugle avec sa phase en démon, le rôdeur d'en bas était un combat amusant avec ses sauts de plateformes en plateforme mais parfois frustrant car il était complément buggé sur certaine phase. Le combat le plus éprouvant fut celui contre Lady Vashj. Entre les tir de flêche à healer, les phases d'add qui éparpillaient le raid hors zone des totems ou hors de portée de ma chaine de soin, le combat était rythmé par courrir, poser les totems, healé, re courrir, totems etc ... . Il faut savoir sur le boss est en haut de d'une plateforme, l'arrivée de certains add se fait en bas de cette plateforme, ce qui mettait les joueurs assignés aux adds systèmatiquement hors de porté des totems et très souvent certains passés hors porté en cours de cast.

le Temple Noir

Arrivé avec le pach 2.1, le temple noir fait parti des incontournables dans l'histoire de Warcraft avec son boss de fin Illidan personnage emblématique de Warcraft 3. Un petit mot sur ce patch 2.1 qui a amenné pleins de nouveautés comme le forme épuiqe du druide via une série de quête très amusantes. C'est aussi l'arrivée des très attendus Aile du néants et raie du néants avec les nouvelles réputations en ombrelune et Skettis. C'est aussi une myriade de correctifs sur tout le contenu PVE, concernants beaucoup de bugs rencontrés lors de notre avancée les mois précédents.

Le temple noir est dans mon top 3 de mes rencontres préférées. L'ambiance, bien que moins réussi que Kara, est géniale. La musique surtout est épique alternance de moment lyrique avec des passages aux instruments à cordes énergiques. La progression et les différentes rencontres sont originales. On ne rentre pas par la grande porte, nous ne sommes pas accueillis comme des héros, on rentre pratiquement comme des voleurs par une brêche dans les murailles alors que la bataille fait rage autour de nous.